mardi 20 septembre 2011

How much difference does it make?

Trois mois. Trois mois depuis le dernier article publié ici. De mémoire, je pense que c'est un record depuis la création de Music Box, voici tout juste huit ans.


Depuis maintenant quelques années, mon rythme de parution n'est plus ce qu'il était, et j'ai connu quelques périodes creuses, dira-t-on. Mais jamais une aussi longue. Oh, je pourrais trouver pas mal de raisons à mon silence (entre découragements, déceptions, décés et désintérêts, il y aurait de quoi), mais je préfère parler de ce qui n'en est pas une, de raison : je n'ai certainement pas plus rien à dire. Juste maintenant, en écrivant ces quelques lignes (avec le nouveau Kasabian, qui m'emmerde déjà après deux morceaux), j'ai une feuille de papier, sur mon bureau, avec facilement une trentaine d'albums sur lesquels j'ai envie d'écrire. Donc, plutôt que de perdre mon temps à me dire que je ne sais plus écrire, je vais faire exactement le contraire, et recommencer à écrire. Parce que finalement, je l'ai toujours fait, et je ne vois pas pourquoi je ne le ferais plus.


Bizarrement, même sans écrire, j'ai toujours quelques visiteurs en ces pages, et les quelques commentaires positifs glanés ces derniers jours  (ainsi que cet article) m'ont donné envie de recommencer. Idéalement, j'aimerais pouvoir couvrir toute la feuille de papier en question, mais on verra si c'est possible. En attendant, je vais recommencer avec quelque chose d'un peu spécial.


Vous connaissez peut-être mon appréciation pour Pearl Jam. Si ce n'est pas le cas, regardez la liste de tags à droite, et cherchez le nom de groupe à la plus grande police. Voilà. Pearl Jam, donc, fête ses vingt ans cette année, et fête l’évènement par un trio multimédia de sorties estampillées Pearl Jam Twenty (ou PJ20). Je vous parlerai donc ces prochains jours du film (que je vois ce soir), de sa bande originale (déjà écoutée) et du livre (presque fini). Et après cela, je reprendrai mes chroniques de "musique rock contemporaine", entre autres choses, j'espère.


Merci d'être passé ici, et j'espère que vous y resterez un peu, et repasserez aussi souvent que possible.


Oh, et pour finir, deux petites choses :

- Je ne parlerai pas du Kasabian.

- La feuille de papier? La voilà.

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