
Le groupe s’appelle Placebo, l’album Meds. Pas très recherché, et de mauvais augure...
Le groupe s’appelle Placebo, l’album Meds. Pas très recherché, et de mauvais augure...
Le groupe s’appelle Placebo, l’album Meds. Pas très recherché, et de mauvais augure...
Pas de musiciens africains, d’hologrammes, de Shaun Ryder ou de Madonna : Graham Coxon est de retour, discrètement, simplement, efficacement.
Pas de musiciens africains, d’hologrammes, de Shaun Ryder ou de Madonna : Graham Coxon est de retour, discrètement, simplement, efficacement.
Cette grave erreur peut être réparée ici, avec la sortie de Mcluskyism, simple best of ou anthologie selon les versions. En effet, on a le choix entre l’édition simple, reprenant leurs singles, ou la totale (faces A, B et, hmmm, C).
Les faces A, soit 28 minutes de pure perfection, sont indispensables : noise, punk, rock, attitude, sarcasme… Difficile de trouver une seule seconde qui aurait du être modifiée. Et encore, on ne parle que des singles, un vrai best of aurait été encore plus impressionnant.
Tout cela est très bien, mais pour quelques euros de plus, on préfèrera la version spéciale, qui ajoute donc deux disques.
Les faces B sont généralement d’un très bon niveau, et voient le groupe dévier un peu de leur répertoire habituel, avec un morceau country et un carrément hip-hop. Certains morceaux auraient carrément pu se retrouver sur le premier disque, comme Love Song For A Mexican.
Enfin, les faces C ajoutent un disque bourré de nouveau matériel, soit des inédits (dont l’excellent The Difference Between You And Me Is That I’m Not On Fire), des démos et une bonne demi-heure de leur dernier concert à l’ULU de Londres, historie de finir l’anthologie en montrant Mclusky dans leur élément.
Vous l’aurez compris, Mcluskyism est indispensable pour tout le monde : le premier disque pour ceux qui veulent connaître le groupe, le second pour les amateurs non acharnées, et le troisième pour ceux qui ont déjà tout.
Cette grave erreur peut être réparée ici, avec la sortie de Mcluskyism, simple best of ou anthologie selon les versions. En effet, on a le choix entre l’édition simple, reprenant leurs singles, ou la totale (faces A, B et, hmmm, C).
Les faces A, soit 28 minutes de pure perfection, sont indispensables : noise, punk, rock, attitude, sarcasme… Difficile de trouver une seule seconde qui aurait du être modifiée. Et encore, on ne parle que des singles, un vrai best of aurait été encore plus impressionnant.
Tout cela est très bien, mais pour quelques euros de plus, on préfèrera la version spéciale, qui ajoute donc deux disques.
Les faces B sont généralement d’un très bon niveau, et voient le groupe dévier un peu de leur répertoire habituel, avec un morceau country et un carrément hip-hop. Certains morceaux auraient carrément pu se retrouver sur le premier disque, comme Love Song For A Mexican.
Enfin, les faces C ajoutent un disque bourré de nouveau matériel, soit des inédits (dont l’excellent The Difference Between You And Me Is That I’m Not On Fire), des démos et une bonne demi-heure de leur dernier concert à l’ULU de Londres, historie de finir l’anthologie en montrant Mclusky dans leur élément.
Vous l’aurez compris, Mcluskyism est indispensable pour tout le monde : le premier disque pour ceux qui veulent connaître le groupe, le second pour les amateurs non acharnées, et le troisième pour ceux qui ont déjà tout.
Morningwood ne cherche pas a réinventer la musique, mais plutôt à concevoir du rock n roll fun, avec un zeste de subversion, qu’on trouve dans les paroles et en la personne de la chanteuse Chantal Claret.
Nu Rock entame l’album avec des riffs AC/DCiens et des paroles qui attaquent les groupes « all surface no feeling ». Excellent début, faut-il encore réussir à ne pas tomber dans le piège de l’auto-parodie.
Apparemment, MW l’a bien compris, car le second morceau montre l’impressionnante gamme vocale de Claret, allant des susurrements sexy aux puissantes voix punk à la Miss Love.
Le single Nth Degree est assez différent car beaucoup plus pop, mais la suite est à l’avenant du début, bien remuant. Ceci dit, au fur et à mesure, on commence à se rendre compte des « emprunts », très évidents sur Take Off Your Clothes, qui dérobe la ligne de basse de Smells Like Teen Spirit (qui n’était déjà pas très originale elle-même) et la guitare de Joey Santiago (Pixies). Mais bon, on pardonne, parce qu’ils auraient pu avoir moins bon goût.
Malheureusement, la seconde moitié est moins impressionnante que la première, mais on retiendra le très catchy Everybody Rules, et Babysitter aux paroles assez tendancieuses.
Somme toute un bon premier album, et si jamais il peut déclencher un revival de girl rock, voire de riot grrrrrrrl tant mieux, on en a besoin.
Morningwood ne cherche pas a réinventer la musique, mais plutôt à concevoir du rock n roll fun, avec un zeste de subversion, qu’on trouve dans les paroles et en la personne de la chanteuse Chantal Claret.
Nu Rock entame l’album avec des riffs AC/DCiens et des paroles qui attaquent les groupes « all surface no feeling ». Excellent début, faut-il encore réussir à ne pas tomber dans le piège de l’auto-parodie.
Apparemment, MW l’a bien compris, car le second morceau montre l’impressionnante gamme vocale de Claret, allant des susurrements sexy aux puissantes voix punk à la Miss Love.
Le single Nth Degree est assez différent car beaucoup plus pop, mais la suite est à l’avenant du début, bien remuant. Ceci dit, au fur et à mesure, on commence à se rendre compte des « emprunts », très évidents sur Take Off Your Clothes, qui dérobe la ligne de basse de Smells Like Teen Spirit (qui n’était déjà pas très originale elle-même) et la guitare de Joey Santiago (Pixies). Mais bon, on pardonne, parce qu’ils auraient pu avoir moins bon goût.
Malheureusement, la seconde moitié est moins impressionnante que la première, mais on retiendra le très catchy Everybody Rules, et Babysitter aux paroles assez tendancieuses.
Somme toute un bon premier album, et si jamais il peut déclencher un revival de girl rock, voire de riot grrrrrrrl tant mieux, on en a besoin.
Un peu de bruit, un peu d’attitude, mais rien de bien mémorable...
Un peu de bruit, un peu d’attitude, mais rien de bien mémorable...
Problème : les morceaux sont tellement génériques et peu inspirés que l’intérêt de cette plaque frise le néant, tant au niveau des riffs que des paroles (sex, love, drugs, blah). La seconde moitié de l’album est plus expérimentale (enfin, façon de parler, c’est pas Aphex Twin non plus), mais le tout reste pas terrible du tout.
Rendez-vous à Werchter à 11h15…
Problème : les morceaux sont tellement génériques et peu inspirés que l’intérêt de cette plaque frise le néant, tant au niveau des riffs que des paroles (sex, love, drugs, blah). La seconde moitié de l’album est plus expérimentale (enfin, façon de parler, c’est pas Aphex Twin non plus), mais le tout reste pas terrible du tout.
Rendez-vous à Werchter à 11h15…